Après mes habituelles occupations de début de nuit, je rejoins Aoyuntaï et Asshanî près de la bibliothèque. Nous discutons de la suite des évènements. Cush semble trop occupé à récupérer sa créature puante pour participer.
Nous avons plusieurs thèses à propos de la venue des créatures démoniaques. Je suis personnellement pour une intervention rapide. Cependant, il faut en apprendre plus avant d’agir. Nous allons donc chez Iris et nous lui demandons d’appeler un de ses contacts au temple.
Après quelques dizaines de minutes, un homme arrive. Il ne semble pas être un prêtre important. Nous le questionnons sur les activités du temple. Nous essayons d’apprendre comment utiliser des objets magiques. Le savoir d’un enchanteur semble nécessaire. Il est très difficile de le faire parler. Je suis clairement consciente qu’il nous cache des choses. J’autorise Asshanî à l’intimidé avec ses compétences en armes blanches.
Il se montre plus bavard. Il nous explique que la pierre fait monter la tour. Il ne semble pas en connaitre d’avantage.
Nous lui expliquons qu’il ne doit pas parler de ce petit entretien..
Iris nous chasse de chez elle. Il est mal poli d’effrayer ses contacts. J’ai connu une Iris plus efficace.
Nous partons pour la court du prince. Peut-être qu’en lui montrant des preuves, il sera enclin à nous aider. Nous nous présentons à nouveau au prince,Il savait que nous étions déjà revenu. Nous lui expliquons le danger que représente le culte de Marduk. Il s’est détourné de son rôle. La corruption est partout chez eux.
Pour montrer la dangerosité des enfers, je montre les blessures que des chiens ont provoqué sur le pauvres Aoyuntaï. Je calme les moqueries du public en déclarant que seul des gens qui ont affronté ce genre de créatures peuvent juger.
Je propose, au prince, de lui monter des preuves dans ses pensées, s’il le souhaite. Il faudra bien sûr un endroit plus tranquille que l’elyséum.
Le public ne semble pas prêt à nous croire. Il leur faut des preuves plus matérielles. Aoyuntaï pense leur montrer sa panthère des laves. Il faut donc aller la chercher. Nous quittons le palais du prince en déclarant “Nous reviendrons” !
La panthère est visiblement très affamée. Les âmes de petits animaux ne le nourrissent pas. Il lui faut de l’humain. Asshanï se propose de ramener du gibier pour lui. Après quelques minutes, il revient avec une très belle femme. La panthère n’en fait qu’une bouché. Quel spectacle horrible !
Nous retournons avec la bête voir le prince. La panthère reste très nerveuse. Nous prévenons le public que c’est un animal dangereux. Nous venons de remporter un certains succès. Cela ne fait pas les affaires d’Iris. Le public pense qu’effectivement la porte doit être fermée. Aoyuntaï ressort avec l’animal. Sur le trajet, un jeune ventrue souhaite s’amuser un peu. L’animal attaque et blesse le jeune dieu. Il essaie de mettre l’elyséum de son coté, en utilisant les règles et lois. Je demande à Aoyuntaï de sortir son animal. Je m’occupe du reste.
J’humilie promptement le jeune ventrue devant l’ensemble de l’élyséum. En utilisant les mêmes arguments contre lui. C’est assez plaisant.
Je me permet de montrer au prince dans ses appartements privés une vision des enfers. Je pense l’avoir convaincu du danger.
Un certain nombre d’amis du prince sont prêt à intervenir. Il nous faut un plan.