Kallicé quitte un monde pour découvrir les changements d’un autre. Kallicé ressent une sorte d’attraction pour des lieux si étranges, si différents, si violent mais pourtant très enrichissant. Le groupe essaie de lier un premier contact dans l’antre d’une Archi-Démone.
Kallicé interroge l’archi-Démon, pour connaître un moyen de sortir de ce monde. L’archi-Demon ne semble pas comprendre le principe d’un autre monde. Elle ne connait visiblement pas la porte au nord de la ville. Asshani pense qu’il serait plus intéressant de questionner une succube. Elles sont plus haut placée dans la hiérarchie enfin plus bas oh !! je ne sais plu…. A la sortie, nous trouvons une femme très grande. Elle est visiblement une déesse comme moi mais en plus grossier.
Elle est une des victimes du culte de Marduk. Elle semble perdue nous acceptons sa compagnie pour rechercher une voie de retour. Elle dit s’appeler la “Goulue”. Le savoir-vivre d’Iris me manque …
Nous partons donc à la recherche d’une succube. Plus nous montons, Plus les démons sont grands et stupides.
Nous comprenons qu’ici le pouvoir ou la puissance se montre par la profondeur. A la différence des sociétés humaines où la hauteur signifie le pouvoir.
Nous descendons par des escaliers assez étranges. Je réalise alors que leur science, leur architecture et leur technologies semblent plus avancées que dans le monde des humains. Les combats nous ont bien assoiffés cependant nous ne ressentons pas l’appétit habituel. Les heures passent et nous n’avons pas besoin de nous nourrir.
Après avoir descendu une bonne dizaine de niveau, les gens commencent à nous observer étrangement. C’est probablement la couleur de peau de Cush qui les surprend. Après quelques niveaux supplémentaires, un garde nous interpelle. Kallicé commence à être très familière avec la langue gutturale des démons. “Hola, Quelle est votre identité ?” “Je suis Kallicé, de Sparte et je souhaites parler au créateur.” “Sparte !? Connais pas ! Vous êtes d’une cité ennemie ? Personne ne parle au créateur. Vous êtes des succubes ? La moindre des choses serait de prendre une apparence normale.” “Oui nous sommes des succubes et il est temps pour toi de tenir ton rang. Nous avons nos raisons pour conserver cette apparence. Tu es bien trop stupide pour comprendre cela. Nous cherchons ton supérieur, afin d’obtenir des informations sur le portail au nord de la ville.” “Oui, pardon, je… lui là-bas, il va vous escorter chez elle”. “Très bien !”
Nous suivons donc un garde qui nous guide vers une personne qui pourra nous aider, du moins nous l’espérons.
Nous entrons dans une sorte de laboratoire. Il ressemble un peu à celui d’Iris. A la différence que le propriétaire de celui-ci sait ce qu’elle fait. Il y a des âmes piégées dans des objets. J’engage la conversation avec la succube nommé Deädra.
Nous remarquons qu’il y a beaucoup d’objets de notre monde dans son laboratoire. Je revois même ma dague troyenne. Visiblement, notre hôte est curieuse de notre monde. Je propose de lui raconter comment notre monde est en échange de quoi, elle pourrait me donner des objets de son monde. On lui demande des objets à notre taille. Ils devront être forgés. Cela prendra du temps. Les autres ont échangé des objets pour obtenir des armes. Cush, Aoyuntaï et la goulue descendent pour aller voir les dresseurs d’animaux des enfers. Quelle créatures puantes vont-ils encore nous ramener ?
Je lui demande si elle connaît un moyen de retourner dans notre monde. Elle nous explique qu’elle a des pistes. Elle souhaite utiliser l’énergie d’un orage pour ouvrir la porte. Une grosse source d’énergie pourrait donc ouvrir la porte dans l’autre sens. Je suis très curieuse de voir cela. De son côté, il est clairement visible qu’elle est intéressée par la découverte de de notre monde. C’est un peu inquiétant. Si des monstres passent la porte,l’humanité sera en danger. Si l’humanité disparaît, nous n’auront plus de nourriture.
Après quelques heures de discussion sur notre monde, nos armes sont apportées chez la succube Deädra. Cush, Aoyuntaï et la “Goulue” reviennent. Aahh, je le savais, ils ont ramené une bestiole.
Aoyuntaï négocie pour en avoir une autre… Nous nous préparons à embarquer. Des gangregardes vont s’occuper de nous. Ils nous transporte par les airs. Nous sommes portés dans les airs par les gardes. Ils nous lâchent aux abords du portail puis ils filent à toute vitesse vers la bataille au loin. La chute fut délicate surtout pour bashir et Aëshala. Je les soigne. Bashir est gravement blessé. J’aide la succube à installer ses choses. C’est une longue tige métallique pointée vers le ciel. Après cette séance de bricolage, voilà qu’il faut attendre l’orage. Après quelques heures, le tonnerre gronde (enfin) dans la plaine des chiens. La foudre bombarde le sol couvert de cendre. Nous approchons de la porte, tout le matériel, les caisses et Bashir (trop blessé pour marcher).
Un éclair géant frappe le dispositif au dessus du portail. Nous sentons tous la décharge d’énergie. La porte s’ouvre, nous voyons de l’autre côté le temple de Marduk.
Nous passons la porte avec le matériel. Nous arrivons dans le temple de Marduk. Le portail tient nos âmes, nous n’avions pas prévu cela. Il faut désactivé la porte de l’autre côté. Deadra décide de re-passer pour fermer le portail derrière nous. Je la remercie et lui dit que j’attends son retour. Je serais ravi de lui faire découvrir mon monde. Elle disparaît de l’autre côté et coupe le portail. Nous sommes enfin chez nous. Enfin, pas vraiment, nous voilà, au milieu du temple de Marduk, entouré de prêtres. Cush prend la parole et parle du retour prochain de Mooz. Je suis hilare au vue de l’ironie de la scène. Les prêtres gobent ce mensonge grossier. J’apprends que cela fait 50 ans que Mooz est parti. Trois jours dans le monde des enfers passent en 50 années dans le monde naturel. La ville a probablement bien changé. Je décide d’aller voir les prisonniers destinés au sacrifice. J’en profite pour boire et visiblement mon idée en fut une bonne car tout le monde m’a suivi. Les prisonniers sont maintenant dans la tour elle même. Nous sortons du temple en prétextant que nous avons des choses à faire.
Nous allons à la villa d’Iris : rien, je retourne à mon quartier, il est occupé. Nous allons à la villa du prince. La villa est entouré de gardes humains. Ils ont un oeil sur leur blason. ils refusent de nous laisser entrer. Asshanî profite de la conversation pour s’infiltrer. Il revient quelques minutes plus tard avec Iris. Elle est plus influente que jamais.