Author Archives: Renaud

Les Héros de l’histoire

Il est temps de présenter les héros de l’histoire: Le portait des différents protagonistes représente la vision de leur auteur.
ide Ide Natsumi honorable samouraï-ko du clan de la Licorne. Une courtisane très gentille. Elle aime aider les autres. Elle est de bon conseil. son calme est probablement la marque d’une intelligence et d’une détermination profonde qui cache un secret. Découvrirai-je le secret de la Licorne ? (tintin, cela me rappelle quelque chose, miloù j’ai vu ça ?)

 

Kaiu_Forge Kaïu Ishi respectable samouraï du clan du crabe, il pratique l’art de la forge. Il a réussi à se forger un katana en moins d’un mois. C’est une performance respectable. Il reste un peu rustre. Je suis sûr qu’il sera touché par l’art et la délicatesse. Un futur crabe à pincette en somme.

 

crabe_takashiKaïu Takashi honorable samouraï du clan du crabe. Il est un farouche guerrier et courageux. Il est cependant assez préoccupé par son confort, serait-il un crabe aux pinces d’or?

 

 

grue Asahina Zeshin honorable samouraï du clan de la grue. Il possède un nombre incalculable d’armes et des méthodes peu courantes chez les représentant de son clan. Il est un combattant efficace.

 

 

shiba Shiba Hitsuji respectable samouraï-ko du clan du Phénix. Il semble que beaucoup de personnes succombent aux coups de foudre en la voyant. Ces méthodes sont efficaces et surprennent tout le monde.

 

Kitsuki_kitsugi Mirumoto kitsugi honorable samouraï de l’école kitsuki du clan du Dragon. C’est un enquêteur de haut vol. Il est sensible à l’art et à la poésie. Malgré ses apparences, il est un adversaire farouche, les ogres ne sont plus là pour en témoigner.

 

 

The_Way_of_The_Lion_by_RebeccaDell Ikoma Akamu samouraï du clan du Lion. Auteur des chroniques.

Rapport de l’agent Cops 283, dit HeadShot.

J’arrive au taff et il est déjà 14h30. Merde, je vais me faire engueuler par le chef. Bon, je vais jouer la carte du super flic. Puis, bon hier on a fait du bon boulot, il va être cool. Une sortie est déjà 3 victoires homologuées. Espérons que la deuxième journée au COPS soit plus calme. J’ai d’autres talent que ma précision au tir. Je leur montrerai.

Bon, on va ignorer le gros >Stand< à l’accueil. “Oui c’est bon je connais le chemin merci, oui je suis en retard, la circulation!” Quel con, celui là, c’est sur passe ta journée le cul sur ta chaise, tu n’es pas prêt d’arriver en retard. Il aime bien remuer la merde.

Bref, j’arrive au 35ème, Guillermo et Jack sont déjà en train de plancher sur un dossier. Un sombre histoire de disparition d’une famille et le cops va y répondre. Je propose des croissants à mes frères d’armes. Visiblement, ils ne connaissent pas. Je vais devoir leur faire leur éducation.

Il est temps de partir le rapport est assez léger. On a l’adresse, il nous reste plus qu’une voiture. Nous descendons donc au garage pour obtenir notre caisse. Bien sûr, la bûcheronne nous donne sa pire carne. Le petit Dany n’est pas là. Il a rendez-vous avec un mec de la haute. Le genre de type qui mangerait du cirage pour briller en société. La route se passe sans problème, pas de camion qui percute des dealers en plein go fast. Ça va! On arrive sur les lieux, et c’est déjà le bordel. Les flics locaux ne nous laissent pas entrer dans le périmètre. Je leur explique mon point de vue, et ils se fâchent. Je voudrais voir un peu de coopération ici quand même. On est dans la même équipe. Nous prenons les choses en main. Interrogatoire du voisinage, étude de l’environnement, appel aux anges pour vérifier les comptes bancaires des disparues. Nous arrivons facilement aux conclusions suivantes: La famille est constituée de 4 personnes: le père, la mère, et 2 filles. Les agresseurs sont multiples et lourdement armés. Le père est professeur au lycée, alors que la mère est secrétaire médicale. Un agresseur doit être sévèrement toucher à la cuisse. Guillermo et moi, décidons de suivre cette piste. Nous regardons sur la carte, les éventuels hôpitaux d’urgences où le type aurait pu aller se faire soigner. C’est à ce moment que Dany arrive en voiture de patrouille.

Le premier hôpital fut un échec cuisant. Il m’a fallut 10 mins pour savoir qu’aucun type ne correspondait à la description de la blessure qu’avait subit le malfrat. Nous faisons route vers le deuxième.

Arme de siège et Caverne

Samouraïs sans nom
Coeur de l’Empire
Protégé des clans

Ikoma Akamu, poète du clan du Lion

The_Way_of_The_Lion_by_RebeccaDellLe jour suivant notre arrivée et de la première attaque, j’ai annoncé à Toshi-san que j’aimerais aider pour la sécurité du village.
J’ai réussi à convaincre la ronin shugenja de m’accueillir chez elle. Je la remercie pour son accueil et l’aide à améliorer le quotidien de sa demeure. Nous sommes invités par Toshi-sama pour accueillir un samouraï du clan de la grue assez peu orthodoxe. Il porte une véritable armurerie sur lui. Il se présente sous le nom de Asahina Zeshin

Le soir, nous allons donc chez Toshi-sama. Nous passions un bon moment lorsque une bourrasque éteignît les chandelles. Aussitôt suivi de flèches, je réussis à me mettre à l’abri et j’ai essayé d’identifier la source des tirs.

Le grue s’était élancé dans la rue pour courir vers la maison d’en face. Je le suis. À notre approche, les bandits s’enfuient. Le grue fait une acrobatie pour monter sur le toit de la maison. Il a pu lancer une arme sur un fuyard. Nous continuons la poursuite. Je suis hélas loin derrière. Je n’ai pas eu les détails, mais je retrouve le grue blessé. Avec l’aide de Ide Natsumi-sama, je mobilise des secours pour soigner le grue. Je réveille le médecin du village, qui n’est pas vraiment du matin. Il m’attaqua par surprise, c’est un ancien du clan du crabe.

Le bilan de cet accrochage fut assez léger, le village a perdu quelques gardes et la servante de Shiba Hitsuji-sama fut tuée par une flèche très spéciale. Cette perte provoqua une certaine déception auprès du samouraï du clan du Phénix.

Le lendemain, je cherche à me renseigner sur le village: dix maisons d’êta, vingt maisons de paysans, huit ronins, une maison vide. Le propriétaire est un marchand. Il est parti pour affaire. Je ne sais qu’elles furent les activités des autres samouraïs de clan, ce jour-là. J’ai discuté un peu avec __Kaïu Ishi__ pour élaborer des techniques afin de pouvoir protéger le village. Le soir, nous allons nous coucher.

Dans la nuit, je suis réveillé par une forte douleur. La maison de la Shugenja, c’est littéralement effondrée sur moi. J’essaie de me sortir d’affaire, mais rien à faire, c’est trop lourd. La gentille, Ide Natsumi-sama vient alors m’aider. J’arrive enfin à me sortir de la maison et nous nous mettons à couvert dans la forêt. Les projectiles se sont tus. En effet, le village était sous l’attaque d’une arme de siège. Le grue et Mirumoto Kitsugui ont su mettre en fuite les attaquants.

Alors que je n’aspirais qu’à un repos afin de me remettre de mes blessures, l’ensemble des samouraïs de clan voulait passer à l’attaque au plus vite. Le grue et Mirumoto Kitsugui avaient obtenu la position d’une grotte. ils voulaient lancer une attaque le plus rapidement possible.

Nous lançons une attaque. Shiba-sama et moi-même approchons de la montagne par la forêt. Le reste du groupe évolue par le chemin, à l’exception du grue qui a fait le tour. Je n’ai pas vu les détails mais cela à chauffer et nous sommes arrivés à l’entrée de la grotte. Le médecin ancien crabe a fait un travail remarquable pour éliminer les fuyards et leur monture.

Nous avons décider d’avancer plus en avant dans la grotte. Pour essayer de surprendre les bandits ou de les empêcher de sortir. Sur le trajet, un piège se déclencha, sans perte trop sérieuse. En bas de la grotte, une grand pièce obscure nous attendait. Un immense dôme rempli de marchandises en tout genre. Nous avons détecté qu’un élément cloché. La montagne tremblait. Nous avons tout fait pour ressortir au plus vite de la caverne. Hélas, je ne fus pas assez rapide (ainsi que Kaïu Ishi) et nous fûmes enseveli sous la roche, pour la deuxième fois en quelques jours pour ma part. Le médecin crabe nous a sorti d’affaire.
Dans ma course, j’ai réussi à garder en main ma lame Akodo. Ce qui m’a permit de ne pas être trop discréditer au sein de mon clan. Kaïu Ishi n’a pas eu la même chance et son daisho complet était sous plusieurs tonnes de roche. Il me fallut une semaine complète de convalescence, pour être entièrement rétabli.

Mémoire de l’ombre par Ikoma Akamu.

Un village de Ronin au coeur de l’Empire

The_Way_of_The_Lion_by_RebeccaDellMe voilà, en route pour un village de ronin perdu au nord du territoire du clan déchu. Mon objectif est d’assurer les intérêts du clan du lion, dans cette zone. Le clan désire une paix relative pour l’été, afin de concentrer ses efforts sur des escarmouches contre le clan de la Grue.

Avant de franchir la passe de Beiden, je fais la rencontre d’une Licorne : Ide Natsumi-sama. Nous échangeons quelques mots, je suis assez surpris de voir une licorne sur les terres de mon clan. Elle affirme avoir les autorisations d’être là. Elle m’informe qu’elle se dirige vers un village de Ronin, à quelques heures de marche après la passe de Beiden. Nous décidons de faire route ensemble. C’est toujours plus sûr.

A notre arrivée, nous découvrons un village vraiment petit, une vingtaine de ronins y vit et nous remarquons la présente de deux samouraïs du clan du Crabe : Kaiu Ishi-sama et Kaiu Takashi-sama. Ils ne semblent pas correspondre aux stéréotypes de leur clan, leur carrure n’est pas celle habituelle pour des crabes. Le premier est forgeron et le deuxième est son yojimbo.

Nous sommes rejoint par une courtisane Phénix. Elle se présente aux crabes. Il semble que Kaïu Ishi-sama ne soit pas totalement insensible au charme de la jeune Phénix. Elle dit s’appeler: Shiba Hitsuji. Elle est accompagnée par une servante. Une femme forte et farouche.

Nous sommes tous reçu par Toshi-sama, le gouverneur du village. Ils nous proposent gentillement deux habitations au sein du village. Au cours du dîner, nous sommes rejoint par Mirumoto Kitsugui-sama, enquêteur du clan du dragon. Il se déclare gouverneur du village sur décret impérial. La signature du décret est contesté par Toshi-sama qui demande au dragon une confirmation par ordre impérial. Toshi-sama est inquiet et nous demande à tous, de révéler nos objectifs en son village. Kaiu Takashi-sama invite l’honorable membre de la licorne et la représentante du clan du Phénix à prendre la demeure la plus tranquille, dans le but de leur fournir un repos réparateur. Mirumoto Kitsugui-sama, Kaiu Takashi-sama et moi-même prenons l’autre demeure. L’enquêteur dragon profite de la nuit pour patrouiller dans le village. Il prend connaissance de son futur domaine.

Je suis réveillé au beau milieu de la nuit par une forte odeur et du bruit. Je me rends compte que l’habitation est la proie des flammes. Je me dirige vers la porte, suivi de Kaui Takashi-sama. Elle est fermée. Je dégaine mon katana et ouvre la porte. Nous sommes projetés à l’extérieur par l’appel d’air. Il est clair que le village est attaqué par des bandits ou quelques choses dans le style. Je profite du chaos pour me mettre à l’abri. Les bandits attaquent à cheval et tirent leurs flèches sur un peu tout le monde. Ils s’échappent sans que nous ayons pu répliquer.

Je retrouve un logis dans une modeste demeure à l’extérieur de la ville. Je redoutais une seconde attaque, je n’ai point fermé l’œil de la nuit. Je sens que cette histoire va être plus risquée que prévue.

Mémoire de l’ombre par Ikoma Akamu

Étoiles, zombies et chateau en ruine

Ils sont enfermés dans le château lugubre. Les habitants des lieux semblent des plus inhospitaliers. L’heure presse, ils doivent récupérer la malpierre qui est conservée dans les profondeurs de la bâtisse. La châtelaine réserve encore quelques surprises..

Après l’affrontement des deux colosses, le groupe se trouvait fort éreinté et en difficulté dans ce château. Au dehors, l’orage sonne l’hallali de la journée. La victoire sur le minotaure et le guerrier du chaos est bien peu réjouissante. Nous avons encore beaucoup de chose à accomplir et à comprendre dans ce château lugubre. L’étage recèle de pièces encore inconnues.

Nous fouillons et identifions, une porte qui donne sur un pont qui va vers l’observatoire. La porte suivante donne sur une salle remplie d’horloge, tous à des heures différentes. Silk y rentre et les horloges se déclenchent et sonnent 5 coups. Sylk est assourdi. La dernière porte s’ouvre sur une chambre vide.

L’objectif principal nous semble évident. Il faut prendre l’observatoire, nous soupçonnons la châtelaine d’y travailler. Nous y entrons en empruntant le petit pont de pierre le reliant au château. C’est un lieu bien étrange et angoissant, il est le cœur d’une expérience visiblement. Je vois un individu dans les hauteurs de la tour. Je tire mais rate mon coup. L’individu a le temps de déclencher de début de son expérience, avant Archaëlle ne la foudroie d’un regard assassin (au sens propre). Les étages supérieurs de l’observatoire commence à s’effondrer. Un éclair frappe la tour, l’énergie descend, léchant un farta de câbles et autres trucs compliqués, bien obscur pour moi. L’éclair finit par arriver sur une table où repose un cadavre. Nous avons eu de la chance, il y avait d’autre créatures prêtes pour une nouvelle vie. Nous avons limité la casse.

Un seul cadavre s’anime. Elle semble intraitable, face à nos attaques, elle continue d’avancer. Silk la poursuit, et lui jette du liquide noir que nous avions trouver dans le “laboratoire” à mort-vivant. Incapable d’arrêter la créature, nous décidons de prendre en charge l’inspection de l’observatoire et de sa bibliothèque. Nous trouvons un astrolabe magique. Nous entendons au loin une grosse explosion.

Cendres et moi avions remarque plus tôt dans notre exploration, que la cours du château présentait quelques singularités. En effet, il y a un trou au centre, sous un plancher de bois , nous trouvons la trappe. J’y jette une torche pour identifier la profondeur et voir ce qui nous attends là bas. Cendres décide d’y descendre. Après avoir été saisi à la jambe, il se ravise et remonte. Après reconsidération, ce trou ne semble pas d’une importance vitale. Les lumières émanant du temple, nous sembles beaucoup plus inquiétante. Le temple accueille une cérémonie, d’étranges fumés tapissent la salle. Sur l’estrade, une femme nous menace, elle invoque même une créature effrayante et dangereuse, Archaëlle la bannit. En fouillant, dans le temple, nous identifions un passage pour descendre dans les sous-sols du temple. Le sous-sol nous montre une pièce vide, ou semble-t-il un coffre était présent, j’entends des pas qui s’éloigne d’un petit passage. Des individus ont volé le coffre. Des hommes-rats, Je me lance à leur poursuite. Trop loin, pour essayer de les toucher avec une flèche. Je vais à toute allure mais ma route est barrée par un skaven en armure motrice. Une abomination, mon épée ricoche sur son acier. Archaëlle, lance une attaque sur cet chose. Les mécanismes s’affolent et l’individu panique. J’essaie de le faire basculer pour limiter les dégats mais il explose. Je suis projeté contre la paroi et je dois la vie à mon bouclier, je tombe inconscient.

Le reste de l’histoire m’a été raconté. Archaëlle, cendres et Silk continuèrent la poursuite, Après avoir encore descendu d’un niveau, ils ont localisé une bombe laissée par les voleurs pour cacher leurs traces. Ils se sont donc échappés avec le coffre plein de malpierre. L’explosion se déclenche mais nous avions déjà commencé notre évacuation. Le château a bien faillit nous enterrer mais finalement nous nous en sommes sortis.

Prendre du repos après tous ces évènements nous semblait obligatoire pourtant, nous avons été accueilli par une troupe de mercenaire ou je ne sais quoi. La situation reste assez délicate. A suivre…

Sous la glace, la bête de mort !

Balade de santé dans les sous-sol d’une ville perdue… Élisabeth, Katherine, Miles et Meyer sont tombés dans une faille à la suite d’une explosion. Il faut maintenant en sortir mais la route ne sera pas facile. Vo’ici le récit de leurs rencontres…

Sacre bleu!
Une géologue prise au piège sous terre, si ça c’est pas de conscience professionnelle, tout de même! Nous voilà, Katherine, Miles, Meyer et moi dans une faille. Katherine et Miles ressemblent plus à des blessés de guerre qu’à autre chose. Meyer est très dérangé, il fait paniquer Miles. Je suis la seule avec une arme. Miles se sentirais plus en sécurité avec elle. Mais une mère n’abandonne jamais son enfant, et ce fusil, god damned, c’est plus que mon enfant.
Après avoir rassurer tout le monde, Katherine et Miles regroupèrent les pièces de l’avion d’Accacia. Nous partîmes en direction du centre de la ville, à 20m sous terre. Une longue marche s’en suivit difficile de garder les idées claires dans le noir de la crevasse/caverne. Elle avait un côté bien plus lugubre que les galeries de mines de fer. Dans une mine cela sent la sueur, les gaz d’échappements ou la ferraille. Seul le silence est notre compagnon de marche ici.

Le premier signe de civilisation fut des fresques des anciens. Elles racontent la lutte entre les anciens et des créatures insectoïdes venues de l’espace. Fortes les drogues des anciens, très fortes! D’après les dessins, les anciens avaient du mal à se défaire des créatures. Un certain nombre mourrait à chaque attaque.
Le chemin descendait légèrement mais sûrement accompagné d’un léger filet d’eau. Il ne faudrait pas descendre trop bas, car des choses y vivent.

Tout ça c’est fort intéressant mais cela ne va pas nous sortir de trou à rats des glaces. Il nous faut nous dépêcher un peu. Le pauvre Meyer est complètement admiratif devant les fresques et parle dans une langue totalement inconnue. Je décide de m’encorder à lui pour le faire avancer. Des piaillements se font entendre, au loin, cela raviva la peur de Miles et Meyer réagit aussi. Était-ce de la peur ou de l’excitation, dur à dire. Les émotions d’un arbre me semble plus facile à lire que celle de Meyer. Personnellement, j’étais persuadée que c’était des manchots albinos. Toujours en groupe, ces bestioles. Après une nouvelle couche de motivation pour Miles à base d’yeux doux et de “Nous sommes du sexe mou, Miles, il faut nous aider”. Il repris un peu du poils de la bête. Comme je m’y attendais, c’était bien des manchots devant nous. Ils étaient tous regroupés dans la pièce. Il y avait une importante quantité de cadavre de poissons au sol. Laissant un fumé si subtil en ce lieu.
Bref, ça puait, pire qu’un aborigène dans un champ. Pourquoi sont-ils ici. J’avais l’impression de voir un élevage, un garde-manger.
Meyer essaya de communiquer avec les manchots sans succès. Pourtant il y mettait du cœur et de la voix.

Il nous fallait un objet pour identifier les divers pièges naturels devant nous. D’un bon coup de crosse de fusil, je décapita un manchot sans douleur et sans bruit.
Je traînais son corps en avant le boyau souterrain. A peine, il avait fait 2 mètres que je vois le corps de la créature s’enrouler dans une toile d’araignée. Mon oncle aurait adoré cette charmante chambre. La propriétaire des lieux tomba du plafond sur ma pauvre victime et le tira à l’abri pour le déguster selon toutes vraisemblances. D’un vif coup d’œil Katherine et moi distinguions 3 autres méga-araignées.
Il fallait les tuer, on ne sait pas quel venin ou autres tours, elles peuvent nous réserver. Fusil à l’épaule pour ma part, Katherine sortit une arme de son sac. (Katherine a une arme ?? Je savais que c’était une fille bien).
Bref, feux à volonté. J’en touchais une lui arrachant une patte, Katherine fit mouche sur la deuxième. Nous achevions la deuxième, tombée au sol. La dernière avancée à toute vitesse vers nous, Katherine et moi avions beaucoup de mal à l’ajuster. Elle se trouvait juste au dessus de Katherine, quand ma balle lui éclata le bide comme une pastèque, redécorant la tenue de ma chère amie de route.

Dans la salle suivante, il y avait 2 chemins, 2 directions possible. La caverne ou un lac souterrain, on en voyait un tout petit bout mais j’ai vu ce qui se cache dans l’eau. Je vota pour continuer dans le couloir. Avant cela, j’utilisa un peu de mes compétences de géologie pour détourner le petit cours d’eau afin qu’il se jette dans le lac. Katherine fit mumuse à jeter des pierres dans l’eau.. super discret le truc..
Ah! J’ai oublié, il y avait un tas de poisson entier dans la salle en face de la bouche du lac. Tout cela me donna bien envie de dégager d’ici et vite. Meyer continuait à parler aux manchots de son esprits.

La salle suivante fut plus angoissante encore. d’un côté un trou d’où d’étranges bruits s’échappaient et en face de ce trou des ossements d’animaux principalement. Enfin c’est Katherine qui le dit, moi les bestioles, je les mange, je leur passe pas la visite médicale.
Bref, il fallait passer et vite, Meyer encordé et bâillonné, avançant quelques mètres derrières moi. Au niveau du trou, je vis une sorte de dard de scorpion géant, visiblement la créature qui possédait ce truc était encore en vie. J’avança doucement vers la prochaine salle et me mis en position de couverture du trou. Katherine et Miles me suivirent.

Plus de peur que de mal, Les scorpions en Australie, c’est fréquent mais il ne font pas la taille d’une vache. Cela ressemblait beaucoup aux insectoïdes de la fresque.

Au bout de la prochaine salle se cachait dans un appendice caverneux, l’angoisse vivante, une chose si indescriptible. Une boule de chair et de nerfs en constante évolution. Des yeux, des bouches, des bouches qui mangeaient des yeux, des bouches qui se transformaient en yeux, un bruit si horrible de claquement de dents et de substance visqueuse qui éclate. Ils nous fallut quelques minutes pour voir une issue à gauche de la créature. Il faut nous rapprocher de cette chose. Katherine et moi parlions de la meilleure solution. Sans nous avertir, Miles se faufila en rampant et réussi à passer. C’est bien mon Miles ça. Je suis sur que Starkweather se serait suicidé sur place. Je me détacha de Meyer qui pourrait nous faire repérer puis je suivis les traces de Miles.

Je me souviens juste de mes mains noires et poussiéreuses et la voix dans ma tête: encore 1 mètre, 50cm, j’y suis, la première main, le bras, la tête …. Une fois dans le couloir, je me redressa et aida Katherine à avancer. Il eut été trop dangereux pour nous de prendre Meyer. Le pauvre homme déclencha la violence de la bête. Son cri déchira nos âmes à tous trois. Cependant ce n’était pas encore l’heure de pleurer nos morts. Nous engageons une course rapide dans les tunnels, cette fois plus large. Pour débouler prêt de la mer souterraine de ma vision aux archives. La surface de l’eau n’était point calme, rien de rassurant.

Je fouillais dans ma mémoire pour trouver le chemin le plus rapide pour regagner la surface. Malgré quelques hésitations, Nous arrivâmes en vue du ciel bleu et glacial mais tellement plus sûr que les profondeurs de ses montagnes. Sûreté probablement qu’illusoire mais Cette illusion suffirait pour quelques jours.
Avant de regagner le grand air, nous primes 5 mins pour vérifier nos vêtements puis nous regagnâmes le camp dans le silence absolue…seulement troublé dans nos têtes des cris de Meyer.

Aide de Jeu

Un petit poème sur la disparition d’un être cher. J’ai écrit et utilisé ce poème dans un scénario rolemaster.

Oh! disparu!

Cette nuit, je me suis endormie
Dans ta chaleur, je me suis blottie
Ton sourire sécha mes larmes
De tes caresses naquit un vacarme

Mes rires et mes désirs obscènes
Comblaient par nos étreintes malsaines
Maintenant où es-tu ?
Sans tes mains, je suis nue

Je prie pour te revoir
J’y nourrie mon désespoir
Mes nuits d’un sommeil torturé
Je les passe à te chercher

Mon amour, je te trouverai
Qu’importe les geôliers ou les prisons
Nous revivrons ce grand frisson
Nous serons de nouveau liés.

Le camp de Lake

Nous établissons notre campement proche des vestiges de celui de Lake. Il est temps de comprendre ce qu’il s’est passé.

Après les premières rotations d’avions, les hommes installent les premières tentes. Bien sûr, la quadragénaire frustrée de Katherine préfère faire des tours d’avions plutôt que de se geler avec nous pour faire du vrai travail.

Notre camp est au nord de celui de Lake. Nous inspectons superficiellement et remarquons un alignement de chose enseveli sous la glace. Nous pensons d’abord à des sépultures. Le major décide d’en déterrer une pour “voir”. Je savais que c’était pas une bonne idée. Le bougre, il commence à être très très bizarre. La sépulture en est bien une mais pas celle d’un humain. Une créature très étrange et dérangeante est là. Elle est particulièrement grande. Moore veut pratiquer une autopsie pour la science. Personnellement, je pense que la science se portera mieux sans ces choses. Moore aussi commence a être pas rassurant. Il est vraiment obnubilé par ces choses. L’obsession n’a jamais été bénéfique à la science ou aux scientifiques: Gallilé, etc. La créature pue d’une violence… On dirait les pieds du Major après 3 semaines de jungles sans changer de chaussettes.

Nous fouillons sous un monticule de neige plus gros. Nous pensons que c’est une tente. Sarah fouille et identifie du sang. Je n’ai pas vraiment envie de l’aider. De mon coté je fouille le hangar ou les avions son visible. Je ne trouve rien d’intéressant. Les avions ne sont pas réparable et on ne peut pas vraiment récupérer de pièce sur l’endroit. Par contre, il y a quelques barils de pétrole qui pourront toujours dépanner.

Au loin, j’aperçois, les restes de la foreuse de la précédente expédition. Je m’en vais jeter un coup d’oeil. Elle est dans un drôle d’état. Le trou est totalement inutilisable. Il faudra en faire un autre. Je repère la zone pour faire installer la foreuse au meilleur endroit. Je donne les ordres aux techniciens. L’installation se fait vite. Je préfère temporiser un peu jusqu’à demain. Afin que l’ensemble du camp puisse voir l’efficacité de mon travail. Le camp n’est pas totalement monté. Beaucoup de gens sont occupés à fouiller le camp de Lake. Il est bien de temporiser les événements afin qu’ils soient appréciés a leur juste valeur.

Je m’en vais me coucher. Moore me fait des reproches car j’aurais pu faire le travail dès aujourd’hui. Je le rabaisse vite faite car c’est moi la géologue de l’expédition. Je décide ce qu’on doit faire. En tous cas moi au moins, je ne pue pas le souffre.

Le lendemain, l’ensemble de l’expédition se réunit autour de ma foreuse. Je lance le forage. La glace ne tient pas 1 minute face à moi. Je perse donc un nouveau trou dans le tunnel sous terrain et je savoure mon succès devant toute l’expédition. Je laisse les accrocs des pics à glace sécuriser la descente.

Le major et Sarah passe dans les premiers. Je descends un peu après pour inspecter les lieux. Il y a de nombreux fossiles, c’est probablement le lieux le plus riches en fossiles jamais découvert à ce jour. Je m’intéresse un peu à la roche qui forme le tunnel, elle semble être de plusieurs couches d’aires géologiques différentes. Très surprenant tout ça.

Dans une grande pièce, je distingue une pierre encastrée dans le plafond de la grotte. C’est un truc de forme étoilé. Je l’extrais de la roche. Elle se met à chauffer, très étrange. J’en parle au Major et à Sarah (qui sont revenus de leur ballade inutile). En présence des autres, la pierre chauffe encore plus.

Je fais remonter l’étoile et je l’inspecterais plus en détails. Moore m’intercepte pour me poser des questions sur la grotte. Je lui signale que c’est très très grand et qu’il sera impossible d’explorer la totalité du truc sans y passer des années et des années. Retour à la case dodo. Je suis réveillée par l’arrivée d’avions sur la piste d’atterissage. L’expédition allemande nous a rejoint. Je ne sais pas ce qu’il nous veulent mais quelque chose me dit que Acacia Lexington y est pour quelques choses.

Dératisation dans les égouts de Grissenwald

Alors que Dornthal et ses compagnons quittent rapidement les environs des répurgateurs, ils vont faire face à des biens étranges individus.

Cendre, Archaëlle, Waldemar et Dornthal quittent les montagnes grises pour retourner vers Grissenwald, ils doivent retrouver le nain laissé inconscient. Il a besoin de soin et sa lame serait utile dans la région.

Nous le retrouvons sans grande difficulté. Le camouflage d’herbe que je lui avais trouver commençait à s’envoler avec le vent. Nous utilisons notre cheval pour le transporter vers Grissenwald. Il y aura probablement un temple, là-bas, pour le soigner. Je pars en éclaireur afin d’identifier toutes menaces. Nous longeons la route en restant dans la forêt. Devant moi, un homme creuse, son comportement est suspect. Je fais le tour silencieusement pour le prendre par derrière. Je le menace et lui demande de m’expliquer ce qu’il fait. Mes compagnons arrivent alors. Après quelques hésitations, il dit qu’il enterre le chien de son voisin. Il nous demande de ne pas en parler. Il pourrait avoir des problèmes. Je demande le logis et le couvert en échange de notre silence.

Il accepte après d’âpres négociations. Il nous propose sa grange pour la nuit. Sa femme, Emma vient soigné un peu le nain. Nous sommes invités à leur table et nous profitons d’un copieux repas: simple mais efficace. Nous profitons d’une nuit de sommeil tranquille. Pendant mon tour de garde, je réveille un peu le chien. Je devais être déconcentrer.

Je repars me coucher, pour me réveiller, au bord d’une plage dans un paysage tout rouge. Archaëlle est là également ainsi que Waldemar. Au loin, un château de métal argenté. Alors que nous retournons le château est maintenant juste derrière nous. Nous entendons des bruits de combat. Un guerrier géant en armure affronte un Loup-blanc géant. Le loup s’est interposé pour nous protéger. Le guerrier a parlé à Waldemar. Lui demandant de choisir des trucs comme ça. Cela me semble très dangereux. Waldemar est potentiellement en train de muter. Il va falloir le surveiller. Après un petit moment, nous revoici dans la grange? Archaêlle pour calmer mes appréhension m’indiquera que notre présence dans le rêve de Waldemar est une sorte d’appel à l’aide. Dans tous les cas, je fais bien attention à ce que fait Waldemar.

Le lendemain, nous repartons pour Grissenwald. Les paysans qui nous héberge nous parlent de leur fils qui serait actuellement à Grissenwald. Ils ont peur qu’il ne soit un des nombreux voleurs qui empoisonnent la ville. Nous nous mettons en route. La première des choses et de déposer le blesser nain devant un temple. Nous trouvons une petite auberge pour la nuit. Il nous reste deux choses à faire dans la ville. Trouver le gamin et recupèrer Noriam qui est en prison retenue par les répurgateurs.

Le plus simple nous semble la piste des voleurs. Ils pourraient nous aider à approcher la prison de Noriam. Donc la principale cible c’est les voleurs. Nous avons l’idée de tendre un petit piège aux voleurs. Waldemar va ballader sur la place du marcher avec une bourse bien garnie, espérant attirer l’attention des vil gredins.

c’est Archaëlle qui fut la victime de leur fourberie. Sa saccoche fut dérobé par un jeune garçon. Elle partie à sa poursuite. Waldemar et moi même la suivont. Le gamin fut plus difficile que prévu à rattraper. Il semblait très étrange, ses yeux étaient vitreux, il semblait absent. D’autres enfants nous encerclèrent dans la petite ruelle. Nous arrivons à trouver un enfant moins manipuler et nous négocions le dessin d’un plan des égouts. Visiblement c’est leur cachette. Le plan fait nous ammenons le gamin à l’auberge pour qu’il soit nourrit convenablement.

Nous partons pour les égoux, Cendres ne nous accompagne pas. Nous évoluons doucement par un chemin moins direct et moins fréquenté d’après le jeune gamin. Nous croisons des inscriptions étranges sur les parois des égouts. Nous entrons dans un grand dortoirs où visiblement beaucoup d’enfants sont là. Certains ressemblent à de vrais pantins. Un homme monstrueux énorme nous menacent. Nous essayons de l’arrêter mais visiblement il veut combattre. Le combat ne dura pas longtemps. A l’aube de la mort, il nous informe qu’il était forcé par le monstre. A ce moment là, nous entendîmes des bruits de pas assez frénétique dans le couloir au fond du dortoir. Je jète une table en travers de l’entrée, une barricade de fortune. Trois énormes rats qui se tiennent debout arrivent par la grotte. Nous voulions défendre les enfants. Les trois premiers ne posèrent relativement peu de problème. Un quatrième arriva après les autres, même après avoir subit une attaque d’Archaëlle, il trouva la force de m’attaquer en jetant sa dague, me blessant à l’épaule. Après ça le combat fut vite achever.

Nous avons fait sortir les enfants, sans trop nous attarder dans le coin. Il nous reste maintenant à libérer Noriam….

Expedition Lexington en péril

L’expédition Starkweather est maintenant prête pour l’exploration de l’antarctique. Hélas, rien dans ce désert blanc ne ressemble à un paradis. Découvrons les difficultés que cette fine équipe doit affronter.

Voilà, que l’expédition finalise l’installation du camp de base sur la barrière de Ross, les avions sont parkés et protégés. Les tentes sont en train d’être montées. Je participe principalement à l’élaboration d’une piste d’atterrissage. Une bonne piste d’atterrissage est une garantie de sécurité supplémentaire pour l’expédition. Le travail fut un peu déranger par une colonie de morses.

Je ne suis pas vraiment confiante sur les capacités de pilotage de Katherine Kenth. Une piste bien large et bien longue sera plus immanquable même pour un pilote incompétent. Après une bonne journée de travail l’expédition va se coucher. Il est bien difficile de trouver le sommeil dans des conditions pareilles. Le froid, le vent et l’absence de nuit ne favorisent en rien le repos; la fatigue musculaire est au contraire très efficace. Les premières menaces du climat font leur apparition sur le visage de Mary, la belle-sœur de Katherine, quelle sotte celle là.

Je n’ai pas compris pourquoi le major nous a donner deux pièces d’or. Ceux sont les pièces que nous avons trouver sur le navire prisonnier de la glace. En tous cas, le symbole est un peu bizarre mais c’est de l’or pur, parole de géologue. Il m’a dit de les garder avec moi. Je les ai laissé dans ma poche intérieure avec l’ambre de mon enfance.

Nous nous endormons enfin. A mon réveil (forcé par Katherine), le camp semble pris d’une certaine effervescence. En effet, nous avons reçu un message demandant de l’aide de la part de l’expédition Lexington. Ils ont été attaqué ou quelque chose comme ça. Personnellement, j’aurais préféré ignorer leur appel. Cependant, Starkweather souhaite faire le sauveur pour les beaux yeux gris de Lexington. Avec toutes les casseroles qu’elle traine pas étonnant qu’on essaie de l’attaquer. Starkweather me sélectionne pour partir à la rescousse des bras cassés de l’expédition Lexington. Nous partons avec deux traineaux, le major en dirige un. Katherine est dans le deuxième et Sarah nous suit en ski. Starkweather souhaite accélérer le pas et commande lui même le 2ème traineau.

Nous arrivons en vu du camp Lexington après quelques heures. Un homme nous accueille, il nous informe qu’un membre de leur expédition à péter un plomb et à tirer sur le générateur (entre autre). Il semble que le malheureux ait été atteint de la mélancolie du blanc, un truc comme ça. Bref, la blondasse de Lexington a bâclé son recrutement. Sarah passe du temps avec le coupable. Il aurait voulu tué des araignées, en plein antarctique, bien sûr. C’est un peu perdre son temps quand même.

D’après notre compréhension, Starkweather négocie avec Lexington pour intégrer son expédition à la notre. Elle changera de nom: Starkweather-Moore-Lexington. Quand je pense à l’argent que mes parents ont mis dans l’expédition, elle devrait aussi porter le nom de Pratchett. En tout cas, avec la fin de son expédition Lexington fera moins la maline maintenant.

Nous repartons vers notre camp de base, le chemin de retour est plus tranquille les conditions sont légèrement meilleures et Starkweather n’est plus aussi enthousiaste qu’à aller. A mon arrivée, je file dans ma tente pour me reposer. Je dois vraiment manquer de sommeil car je vois les créatures des pièces bouger. Ce n’est pas étonnant, Katherine m’a réveillé vachement tôt. Le lendemain matin/midi ou soir, on ne sait plus vraiment, il est temps de projeter notre effort vers les montagnes. Nous allons nous installer sur l’ancien camp de Lake.

Starkweather nous fait un caprice pour aller escalader une montagne. Il souhaite partir avec nos deux guides polaires. Nous essayons de le dissuader de partir mais il est têtu le bougre. Quel idiot, l’intérêt d’une montagne ce n’est pas de l’escalader mais de la creuser. Le reste de l’expédition prépare l’avancée vers le camp de Lake. Nous irons avec 3 avions, le Messerschmitt et un Boeing 247. Le bell de l’autre expédition nous rejoindra. Je monte dans l’appareil de Katherine et espère vraiment qu’elle est meilleure pilote que photographe. Nous décollons sans l’ombre d’un problème (la piste d’envol est particulièrement bien faite). Nous rencontrons quelques turbulences, rien de méchant. Les montagnes nous semblent plus grandes que prévues. Le camp de Lake se trouve au pied des montagnes. Nous cherchons quelques temps, pour enfin le trouver. Il y a clairement du laisser-aller dans l’entretien de la piste (normal pour un camp abandonné). L’atterrissage est mouvementé. A la sortie de l’avion, Moore qui était avec nous, nous fait un serment nostalgique sur l’expédition de Lake. Ennuyeux a en mourir.

Le camp est à moitié recouvert par la neige et les glaces. Il y a 3 ans maintenant qu’il est désert. Nous allons commencer les rotations pour apporter le matériel. Nous verrons bien ce qui se cache dans ses montagnes…